Des méthodes simples pour améliorer l'entreprise
:
-
Éliminer ce qui n'est pas utile
-
Rendre plus souple et plus simple
-
Remotiver et recentrer sur les valeurs du bon
travail et de l'entente en équipe
-
Renforcer l'écoute des clients
-
Améliorer le management de terrain
|
Contenu
A
Présentation de la
démarche
PAGEREF _Toc398536945 \h 1
B
Les objectifs de notre
démarche d’amélioration
PAGEREF _Toc398536946 \h 2
C
La méthode
PAGEREF _Toc398536947 \h 2
1)
Le diagnostic initial :
PAGEREF _Toc398536948 \h 3
2)
La mise en œuvre :
PAGEREF _Toc398536949 \h 4
D
Le cas d’une
certification de management
PAGEREF _Toc398536950 \h 5
E
En résumé....
PAGEREF _Toc398536951 \h 7
F
Exemples
PAGEREF _Toc398536952 \h 7
G
Ouvrages de référence
PAGEREF _Toc398536953 \h 8
Vous avez
peut-être des activités qui fonctionnent mal et que vous n’avez
pas le temps de faire rectifier : des rapports de chantier sont
mal remplis, la relance des paiements se fait mal, certains
personnels arrivent en retard, ils ne travaillent pas en équipe,
la réponse au téléphone est mauvaise, la prospection n’est pas
assez efficace, les réunions ne commencent jamais à l’heure...
Il n’est pas
toujours aisé de modifier les mauvaises habitudes depuis
l’intérieur de l'entreprise : les causes en sont souvent
complexes, cela demande du temps et des efforts qu’il vaut
parfois mieux consacrer à des priorités plus fortes.
Notre démarche
repose sur deux bases essentielles :
-
Une
approche participative qui a pour but d’associer le
personnel, de recueillir ses bonnes idées et de l’impliquer
dans la mise en œuvre, ce qui facilite fortement les
changements
-
l’intervention d’un consultant extérieur, qui peut aider à
améliorer les points durs du fonctionnement et du service
aux clients :
-
Le
consultant peut « mettre les pieds dans le plat » plus
facilement et il permet à la Direction de rester en recul
-
Au vu
de sa large expérience, notamment dans d’autres secteurs, il
peut éviter des erreurs et proposer les meilleures
pratiques,
-
Son
coût est faible dans la mesure où il n’intervient que sur un
temps limité.
Une labellisation
ou une réorganisation peuvent être l’occasion d’une telle
démarche. Menée par nos méthodes et non en recherchant la seule
conformité, les certifications, en particulier, donnent des
objectifs précis et permettent des gains considérables.
Christian DOUCET,
Polytechnicien, plus de 400 interventions en TPE, PME comme dans
des grands groupes, vous apporte des méthodes pragmatiques
inspirées des USA et axées sur la réussite humaine de
l'entreprise au service de la productivité et de la progression
commerciale, pour des coûts réduits. Ses clients sont en très
grande majorité des leaders dans leur secteur.
La démarche a 4
objectifs :
-
Vis-à-vis
des clients et partenaires : les progrès possibles au
niveau de l'image, des produits et services proposés, des
différentes relations avec eux (prospection, relationnel,
accueil, services, etc…), avec pour but d’accroître chiffre
d'affaires et marge. L’objectif est de se rapprocher de
l’excellence.
-
Au
niveau du fonctionnement interne de l'entreprise : les
défauts et rebuts de production, les retards et problèmes de
livraison, les pertes de temps et gênes au travail, les
défauts d’ordre, d’organisation, de compétence et de
motivation… de façon à améliorer à la fois l'efficacité
interne, les conditions du travail et la motivation du
personnel.
-
Au
niveau de la rentabilité : l’optimisation de
l’organisation et du fonctionnement ainsi que la chasse au
« gaspi ».
-
Au
niveau humain et sociétal : la promotion des valeurs du
bon travail dans l'entreprise, l'hygiène et sécurité
(prévention des risques d’accidents, amélioration des
conditions de travail), la préservation de l'environnement
et le développement durable, le respect de la
réglementation, les relations avec les collectivités,
associations, correspondants locaux…
Dans tous ces
domaines, des foules d’améliorations sont souvent possibles,
parfois de façon très simple, par exemple grâce à une meilleure
prise de conscience par le personnel, à des améliorations
mineures des logiciels ou du système d’information, des règles
en vigueur... Cela peut être également de véritables
aménagements : réorganisation de l’atelier, modernisation des
machines, etc... Nos méthodes permettent une véritable
mobilisation du personnel en profondeur, ce qui permet de mener
ces changements dans les meilleures conditions.
Le cas des
certifications est traité en fin.
Notre principe de
base : partir d'abord des suggestions du personnel (à tous
niveaux, du terrain aux cadres supérieurs). Le Cabinet sait les
orienter positivement et les mobiliser pour faire des
propositions constructives via une enquête confidentielle. Cela
permet de régler ensuite une grande quantité de problèmes avec
le soutien des intéressés, rapidement et en concertation. Les
améliorations sont souvent très notables.
L’amélioration est
accompagnée d’une formalisation des processus qui ont été
améliorés sous la forme de modes opératoires et d’outils
pratiques (modèles de documents, utilitaires logiciels,
check-lists...), sans théorie ni formalisme inutile.
Ceci peut aussi
être mené dans le cadre d’une certification ou d’une
labellisation, qui constituent alors un challenge.
La démarche se
différentie toutefois des méthodes « classiques » telles que
certifications par rapport à des normes de management (ISO 9000
et autres), lean, 6 sigmas, 5S, etc… :
Elle reprend
globalement le Lean, chaque processus étant rendu plus efficace
avec la participation étroite des acteurs, mais sans la lourdeur
et les coûts de celui-ci.
Elle reprend les
éléments des normes ISO 9001 et analogues mais en s’en tenant à
l’essentiel, c'est-à-dire à l’amélioration du fonctionnement et
de l’organisation, sans formalisme inutile. La certification est
toutefois garantie.
Centrée sur la
correction des problèmes, elle suit les préceptes généraux du
six sigma, mais sans les coûts considérables associés.
Elle peut
s’appuyer sur un 5 S pour l’amélioration d’ateliers et de postes
de travail : Seiri (débarrasser), Seiton (ranger), Seiso
(nettoyer), Seiketsu (ordonner), Shitsuke (être rigoureux).
Au total elle est
plus efficace, plus pragmatique, plus rapide et moins coûteuse
que ces méthodes.

Nous commençons
par un diagnostic précis :
-
Une prise de
connaissance générale de l'entreprise, de sa situation, de
son contexte, sur la base des documents
existants : documents de
communication, rapports d’activité, bilans financiers,
organisation générale...
-
Une
prise de connaissance de l’activité concernée : procédures,
résultats, acteurs...
-
Un
entretien avec la direction pour bien situer la
problématique et planifier l’action
-
Une
enquête par questionnaire simple et confidentiel auprès de
toutes les parties concernées, y compris les échelons de
direction, les cadres intermédiaires, les personnels
d'exécution et les services indirectement concernés.
Cette
enquête permet d’identifier d'une part le ressenti des
acteurs vis-à-vis des problèmes (ce ressenti est essentiel
car c’est lui qui explique généralement la conduite des
acteurs), d'autre part leurs suggestions d’améliorations.
Nos
méthodes permettent de réaliser l'enquête rapidement et
simplement. Elle sert aussi d'enquête de motivation et
d'enquête sociale.
-
A l’issue de
cette enquête, un point est fait avec la direction qui
décide des actions à mener.
-
Ensuite, des
entretiens avec un panel de personnes représentatives des
différents points de vue. Ces entretiens permettent
d’approfondir les solutions envisagées. Notre forte
expérience en organisation nous permet d’orienter
pédagogiquement les réflexions vers les solutions
fonctionnant le mieux, en évitant les voies qui conduiraient
encore à des difficultés.
-
A l’issue de
ces entretiens, un plan d’action pratique vous est proposé.
Les solutions suggérées sont détaillées, avec éventuellement
des modèles et des mises en situation, de façon à permettre
les décisions en toutes connaissances de causes. Cela
permettra également aux personnels de savoir exactement
savoir comment faire par la suite, sans pertes de temps.
Le diagnostic
demande typiquement de 5 à 7 jours de travail pour le Cabinet
dans une PME de 50 personnes.
La refonte du ou
des processus est alors réalisée avec les acteurs eux-mêmes, ce
qui est un gage de rapidité, de bonne adaptation et
d’efficacité. Le tout s’appuie sur des « documents-outils »,
c’est-à-dire des guides, modes opératoires, utilitaires
logiciels... avec la mise en place de contrôles ou d’audits
réguliers, de façon à obtenir un bon fonctionnement régulier et
pérenne. Une aide à la réalisation des documents est
généralement prévue.
Une cellule
d’animation est mise en place au sein de l'entreprise. DOUCET
Conseil apporte un soutien actif, mais il est essentiel que ce
soient les acteurs eux-mêmes qui s’engagent pour aboutir à une
appropriation rapide des nouveaux usages. Notre appui doit peu à
peu s’estomper.
La démarche
s’achève lorsque tout fonctionne bien de façon régulière. Elle
se poursuivra par la suite par l’amélioration continue sur la
base des suggestions des acteurs et des problèmes rencontrés.
Tout n’est pas
possible, mais cette méthode consultative et concertée permet
généralement des évolutions rapides, en profondeur et bien
acceptées.
Nous considérons
en particulier qu’un processus n’est pas seulement une
succession d’étapes et de cases dans des diagrammes mais avant
tout un groupe de personnes qui doivent bien s’entendre, bien
comprendre leurs besoins respectifs et chercher à s’entraider.
Nous recherchons d’abord l’adhésion. La coercition n’est
utilisée qu’en dernier ressort, vis-à-vis des irréductibles (des
mécanismes de motivation tels que primes, peuvent par contre
être prévus).
L’approche est
pratico-pratique, en soignant les détails, car les
dysfonctionnements proviennent souvent de tels détails : casier
trop étroit ou mal placé, fenêtre de saisie incommode,
formulaire contenant des parties inutiles ou mal comprises,
etc...
L’objectif n’est
pas de mettre en place un processus parfait « sur le papier »
mais un processus fonctionnant bien dans la réalité, avec le
personnel et les moyens en place, en tenant compte des
contraintes et des personnalités.

Il y a deux façons
d’aborder une certification de management (Par rapport aux
normes ISO 9000, 14000, etc...) :
-
·Soit, pensant aller plus vite, on recherche surtout la
conformité au référentiel. On va alors multiplier les
documents et le formalisme inutiles qui vont se rajouter à
l’existant, tout en ne résolvant pas les problèmes de
fonctionnement essentiels. La démarche est difficile car les
personnels ne comprennent pas que la formalisation de
l’organisation ne vise pas l’amélioration de ce qui
fonctionne mal et jugent perdre leur temps. Au total, le
certificat peut être obtenu mais de façon artificielle et
sans gains importants ni des services aux clients ni du
fonctionnement interne.
C’est
pourtant la méthode la plus courante aujourd’hui.
-
Soit
on profite de la mise à plat de l’organisation et des
processus pour améliorer tout ce qui est possible. La
certification est utile car elle fixe un objectif de date et
force à avancer. Elle prévoit également des mécanismes de
contrôles (indicateurs, audits, revues...) qui font
respecter les nouvelles dispositions. Le tout est de bien
utiliser ces avantages, ce qui est le cas si on s’oriente
résolument vers les améliorations. Les gains sont alors très
importants, avec une véritable revitalisation de
l'entreprise.
Une interprétation
particulière de la norme est toutefois alors nécessaire. Il est
très souhaitable de séparer les préoccupations : l'entreprise
améliore sans se soucier de la norme, le Consultant veille au
maintien de la conformité avec la norme en l’intégrant dans le
fonctionnement normal et en minimisant tout formalisme inutile,
ce qui est tout à fait possible. Ceci est résumé dans le tableau
suivant qui montre les fortes différences entre les
interprétations « formelles » et « fonctionnelles » de la norme
(ceci est valable pour toutes les normes de management).
On pourrait croire
que cette méthode d'une part est plus longue et coûteuse,
d'autre part conduit à des risques vis-à-vis de la
certification. C’est l’inverse :
o
Fortement soutenue par
les personnels qui attendent les améliorations qui les
concernent, elle peut aller vite et est donc moins coûteuse
o
Elle conduit à une
démarche qualité bien intégrée et appropriée par les personnels,
ce qui est particulièrement apprécié par les auditeurs. Le
certificat est plus facilement obtenu et, ensuite, maintenu.
Cette démarche
nécessite toutefois un Consultant extérieur expérimenté et
compétent dans ces méthodes.
Comparaison
entre démarches formelles et fonctionnelles dans le cas de la
norme ISO 9001
(ceci est extrapolable à toutes les autres normes de management)
Domaine |
Démarche « classique » |
Démarche DOUCET Conseil |
Globalement |
La démarche qualité de certification est orientée vers
la conformité à la norme considérée.
Inconvénients :
Formalisme et lourdeur souvent excessifs (ex : visa des
documents)
La démarche améliore la formalisation de l’organisation
mais ne résout par les dysfonctionnements principaux.
Ses gains réels au niveau des clients, du
fonctionnement interne comme de la rentabilité sont
faibles comparés au travail fourni.
Les personnels n’adhérent pas et la démarche est longue
et difficile
Le rôle du responsable qualité se résume souvent à de la
gestion documentaire et est ingrat. |
La démarche profite de la mise à plat des processus de
travail pour apporter toutes les améliorations utiles,
de façon concrète et pragmatique.
Elle améliore directement et rapidement le
fonctionnement de l'entreprise, sans imposer de
formalisme ou de lourdeurs inutiles. Les gains sont
importants.
La conformité à la norme est obtenue sur le fond et non
sur la forme, de façon bien plus « solide » et sûre que
par la démarche « classique ». Le certificat est
garanti.
Le personnel soutient fortement. La démarche est donc
plus rapide et agréable.
Le responsable qualité a un rôle d’ « améliorateur », ce
qui est très valorisant. |
L’amélioration continue (fiches de progrès, groupes de
travaqil...) |
Les méthodes sont souvent lourdes, formelles et longues |
L’objectif est d’améliorer rapidement, mais en
concertation avec les acteurs et en s’assurant du bon
résultat final (l’action ne s’arrête que lorsque
celui-ci est atteint) |
La documentation |
Ce sont des procédures qui apportent peu aux opérateurs
et qui sont donc peu utilisées. |
Les documents doivent répondre aux besoins de leurs
utilisateurs et les aidezr réellement. C’est la notion
de « document-outil ». |
Les audits internes |
Ce sont des vérifications du respect des procédures,
avec très peu de valeur ajoutée. |
Ils sont destinés à détecter les améliorations encore
possibles des processus, en concertation avec les
acteurs |
L’animation de la démarche |
C’est un comité qualité généralement déconnecté du
fonctionnement opérationnel de l'entreprise. Il traite
essentiellement des problèmes secondaires. |
L’animation est dédiée directement au Comité de
Direction. La qualité est complétement intégrée au
management courant de l'entreprise |
Les « valeurs » |
Elles ne sont prises en compte qu’à la marge, l’action
est centrée sur les procédures. |
Les valeurs du bon travail, la ponctualité, l’esprit de
service, le travail en équipe... sont au centre de la
démarche, qui vise à les développer au maximum. |
Et l’environnement, l’Hygiène et Sécurité... ? |
Ce sont de nouvelles démarches, toujours axées sur la
conformité aux normes associées. |
Ils s’intègrent naturellement dans la démarche, à un
degré dépendant de la stratégie de l'entreprise. |
Notre démarche est
une démarche d’amélioration globale de l'entreprise qui part des
suggestions de tous les acteurs (direction, encadrement comme
personnels) puis qui les mobilise étroitement pour se rapprocher
de l’excellence sur tous les plans.
Elle recourt à des
méthodes rodées et éprouvées, fondées sur :
-
Un
diagnostic initial précis, permettant de prendre en compte
tous les facteurs à considérer : techniques, humains,
financiers, réglementaires et normatifs.
-
Une
concertation pragmatique avec tous les acteurs, à moindres
changements et coûts, selon la technique du KAÏZEN (les
« petits pas ») et du « LEAN » (supprimer l’inutile)
-
L’intervention d’un œil extérieur expérimenté, le
consultant, qui permet de « mettre à plat » les
dysfonctionnements de façon objective, dépassionnée et sans
agressivité
L’homme est placé
au centre de l’organisation, celle-ci devant être conçue pour
lui permettre d’agir le plus efficacement (et le plus
facilement) possible.
L’objectif final
est l’accroissement à la fois du chiffre d’affaires, de la marge
et de la motivation du personnel.
Quelques
d’exemples d’améliorations :
-
La
convivialité et le travail en équipe, grâce à des sorties
communes, à la création d’un lieu de convivialité, à des
réunions de paroles, etc…
-
La
ponctualité et le déroulement des réunions : définition des
principes à respecter, suivi de leur mise en œuvre…
-
Les valeurs
du bon travail, de l’entraide, de la réactivité… :
élaboration en commun d’une charte puis suivi de sa mise en
œuvre…
-
Le désordre
dans les documents et les fichiers : rangement des armoires
ainsi que des fichiers sur le serveur, suivi du maintien du
rangement
-
Le désordre
dans le magasin et le stock : rangement, contrôles réguliers
-
La
prospection et la commercialisation : meilleure organisation
des tournées, argumentaires de vente, benchmarking par
rapport à la concurrence, relations commerciaux -
assistantes, tarification…
-
La
logistique : résolution des problèmes de la chaîne
logistique et optimisation : transmission des commandes,
planification, coordination des moyens, suivi, contrôles...
-
Management : formations au « management motivant » des
responsables et des salariés
-
Etc…
G Ouvrages
de référence
On trouvera le
détail de ces méthodes appliquées dans plusieurs ouvrages
(disponibles à l'achat sur le site) :
-
«
Réhumaniser l’entreprise, Améliorer à la fois la
compétitivité de l’entreprise et le bien-être du personnel »
(LEXITIS Editions)
-
Le QUE
SAIS-JE « la qualité » (PUF)
-
Pour une
certification des systèmes de management, "Certification
utile : sortir du formalisme, remettre la qualité au service
du développement de l'entreprise" (INSEP Editions),
Impératif à lire
-
« La
Maîtrise de la qualité ».
ainsi que, sur le
site, de nombreux guides, articles, méthodes mis à disposition
gracieusement..